1  PESTICIDES, perturbateurs endocriniens et autres poisons 1.1  PESTICIDES, POP ou « polluants organiques persistants » 1.2  Perturbateurs endocriniens 1.3  Additifs alimentaires 1.4  Cosmétiques 1.5  On n'y pense pas 2  Métaux lourds 3  Irradiation des aliments 4  OGM 5  EDULCORANTS 5.1  FAUX SUCRES 5.2  EDULCORANTS NATURELS

Ils augmentent les risques de CANCER, Parkinson, DIABETE, asthme, infertilité, MALFORMATIONS, AUTISME,  RETARD MENTAL, hyperactivité… Ces molécules, comme le PCB, le benzène, le chlordane, ou le toxaphène, sont capables de bio-accumulation dans les tissus vivants. Leur quantité s’accroît au long de la chaîne alimentaire. Chez les hommes, on les retrouve concentrés dans le cerveau, le foie, les tissus adipeux. Cela augmente divers risques : tumeurs, troubles du comportement, diabète, syndrome métabolique, stérilité. Conseil : laver légumes et fruits non bio à la brosse avec de l’eau + BICARBONATE. Ils imitent les propriétés des hormones et provoquent des anomalies physiologiques (dans le fonctionnement des organes), notamment les organes reproducteurs ; ils agissent à très faible dose et perturbent l’organisme, souvent de façon discrète. Ce sont les pesticides organo-chlorés, les plastifiants comme les phtalates, les médicaments en particulier les pilules contraceptives ; le bisphénol A en fait partie, rappelons qu’il s’agit d’une molécule très proche du Distilbène, un médicament censé éviter les fausses couches, mais qui fut à l’origine de milliers de malformations chez les enfants.
Il ne faut pas faire confiance aux labels « sans bisphénol A » qu’on lit partout, puisqu’ils contiennent pratiquement à coup sûr d’autres types de bisphénols, tout aussi nuisibles, sinon plus ! Ils sont nuisibles, tel l’aspartame, le glutamate monosodique, la saccharine, les inosinates, le jaune de quinoléine, la tartrazine et bien d’autres. (Voir Livre: anatomie… hygiène) HABITS* : ils sont fabriqués avec des fibres et teintures synthétiques, une source majeure de polluants volatiles que nous respirons. L’industrie du textile est la seconde la plus polluante derrière celle du pétrole. Alors ? Il faut choisir Coton, laine, lin ou autres fibres végétales, avec teintures naturelles.
* De même textiles et revêtements à la maison, en voiture, partout où nous allons. Un diagnostic de présence de métaux lourds dans votre organisme peut s'effectuer avec :
- Oligoscan, appareil qui les détecte, chez votre naturopathe
- dosage des Porphyrines urinaires
- analyse des cheveux (plutôt que dosages sanguins). Nous nous imprégnons de métaux toxiques en respirant les gaz d'échappement des automobiles, les émissions aériennes des processus industriels, de la combustion du pétrole, du charbon, des végétaux, les émanations des incinérateurs d'ordures ménagères, des déchets miniers et industriels... Nous ingérons des toxiques en mangeant les aliments contaminés de l’agroalimentaire, résultat des pratiques modernes stimulantes à l'excès, utilisation à long terme de composés chimiques pour la protection des plantes, qui a mené à l'explosion des quantités de cuivre, mercure, cadmium, plomb dans les sols et les cours d'eau, contaminant les aliments : poisson au mercure, pain au cadmium, plomb et mycotoxines, pâtes à l’aluminium, café au cuivre, lait et fromage au plomb, frites aux mycotoxines et acrylamides cancérigènes, vin (même bio) aux sulfites... Nous nous infestons de toxiques en buvant des jus de fruits, de l'eau dans des bouteilles en plastique, en récurant notre vaisselle et notre domicile, en cuisant au micro-ondes, en lavant notre linge... Nous empoisonnons notre organisme avec des métaux lourds et des toxiques en nous soignant préventivement par les vaccins dont les adjuvants contiennent du mercure et/ou de l'aluminium, en subissant depuis des générations l'obturation des caries par des amalgames dentaires contenant du mercure et de l'argent, ou en consommant certains médicaments... La qualité de l'alimentation conditionne celle des tissus et cellules du corps (os, tendons, ligaments, muscles, artères, veines, nerfs, etc.). Votre assiette va donc conditionner votre état de santé générale, l'état du terrain, sa résistance et sa vitalité. Notre corps doit aujourd’hui combattre sur tous les fronts : stress, anxiété, sédentarité, pollution de l’eau et de l’air, toxines, aliments dévalués, tabac, alcool, tranquillisants, hormones, colorants, additifs, etc. La pire des pollutions serait les métaux lourds !
Les métaux lourds sont des métaux et métalloïdes présentant un caractère toxique pour la santé et l'environnement : les plus connus = plomb (Pb), mercure (Hg), arsenic (As), cadmium (Cd), nickel (Ni), zinc (Zn), manganèse (Mn), brome (Br)... Certains comme le cuivre, le zinc, le chrome sont nécessaires à l'organisme en petites quantités, mais deviennent toxiques à doses plus importantes ou en association avec d'autres toxiques. Dans votre corps les métaux lourds sont ces petites quantités qui font les grandes catastrophes, s'accumulent et provoquent des maladies et/ou accélèrent le vieillissement, et la dégénérescence. Mercure : Neurotoxique, toxique pour la reproduction ; apport alimentaire par thon, espadon... plombages, inhalation par ampoule basse consommation brisée.
Cadmium : industries, piles, tabac, panneaux photovoltaïques, pigments, céramique, émail, parfois dans eau, aliments. Cancérigène pour rein, prostate poumons.
Arsenic : pesticides, exploitation minière, tabac, eau, sols, air.
Cancérigène avéré pour peau, poumons, vessie, reins.
Nickel : cacao, soja, céréales, industrie, portables, bijoux, piercings (allergisants).
Cancérigènes avérés pour poumons, cavité nasale. 1. Prendre soin de l’intestin grêle, le « maillon faible »
- Microbiote intestinal (la flore intestinale)
- Muqueuse intestinale agressée par certains aliments (gluten…), peut devenir poreuse : des toxines peuvent alors passer dans le sang au lieu d’être éliminées
- Système immunitaire intestinal Pour le préserver, privilégier fruits et légumes bio, réduire ou supprimer le sucre ainsi que les céréales à indice glycémique élevé (pain, pâtes, riz blanc) et éviter les laitages, surtout si vous êtes intolérant au lactose. (voir site: alimentation-métabolisme)
Coup de pouce : enzymes digestives + probiotiques pour améliorer la flore. 2. Soutenir le foie qui reçoit, traite et filtre le sang provenant du tube digestif
Chardon marie, Desmodium adscendens (voir site: alimentation-métabolisme-détox) 3. Les émonctoires
Sécrétion et élimination des toxiques se font par les intestins, reins, vésicule biliaire, peau, poumons. Ils sont intoxiqués et parfois bloqués. D’abord, il faut… transpirer !
Vous pouvez aussi : (voir site: alimentation-métabolisme-détox)
-Protéger les reins et les voies urinaires par la racine d’ortie, les sommités fleuries de bruyère, l’aubier de tilleul.
-Protéger la muqueuse de l’intestin grêle par l’extrait sec de feuille d’olivier (gél.)
-Stimuler le drainage hydrique par un apport quotidien majoré surtout sous forme de tisanes et de thé vert, et de décoctions de queues de cerise. La chlorella aide l'organisme à s'en débarrasser par les voies naturelles, la chlorophylle de cette algue assure, tant par sa qualité que par sa quantité, une oxygénation maximale des tissus et un assainissement efficace de la flore intestinale
L'ail des ours : désintoxiquant dans les pathologies induites par le mercure dentaire. Il protège les globules blancs et rouges contre l'oxydation due aux métaux lourds, contient du sélénium, chélateur des métaux lourds par excellence.
La pectine des fruits et céréales complètes, graines de tournesol, citrouille, noix, légumineuses, soja fermenté, transforme le plomb en sels métalliques insolubles et inabsorbables, donc excrétés.
Les algues détoxifiantes et reminéralisantes, neutralisent les effets des bombardements radioactifs ! ** Purifying Essence ** ( France 5, 15 02 2015, 20h41 ) Le motif de l'irradiation des aliments est : protéger le consommateur de certaines infections.
Sont indiqués : « ionisés », « traité par rayonnement ionisant », « stérilisation par électrons », ou bien rien n’est noté, le logo n’étant pas obligatoire ! Un seul laboratoire (Mérial à Strasbourg) peut détecter une irradiation mais pas la dose ! Et les contrôles de la répression des fraudes (DGCCRS) sont faits une fois par an …
En France, difficile donc d’avoir des précisions sur ce sujet : « parce que le client associe à Tchernobyl » ! Les entreprises n’ont pas intérêt à ce que le consommateur sache : l’irradiation leur permet de vendre plus, plus longtemps, plus loin, en augmentant la durée de vie (vie ?) des aliments. Les français réputés « mangeurs de grenouilles » mangent ainsi des cuisses provenant … d’Indonésie !
Les USA sont plus bavards et fiers de consommer 300 kg chacun par an de produits irradiés ! Processus : une cuve d’eau, cobalt 60 radioactif mortel à 1 mètre en 1 minute, les aliments dans un container y sont plongés 24 minutes (= une radiothérapie à l’hôpital !)
Les huitres gagnent ainsi 2 à 3 semaines de vie, la viande congelée jusqu’à 10 semaines (mais la graisse rancit), les pommes de terre ne germent pas pendant presqu’un an (mais contiennent du sucre), etc. Faculté de pharmacie de Strasbourg, Professeur Eric Marchioni :
Dans les mangues l’irradiation diminue la Vitamine C de 11%.
Pour le poulet la vitamine E est diminuée de 30%. Une molécule inexistante dans la nature apparaît lors de l'irradiation: l’alkylcyclobutanol, procancérigène chez la souris ; mais des recherches plus poussées ont été refusées par Bruxelles, alors qu’elles ne coûteraient qu’une infime partie du budget du commissariat européen à la recherche. Que faire ? L’idéal est de se nourrir de produits locaux (bio), ne pas s’abonner aux restaurants, vérifier l’étiquetage - ? - Lorsque les humains ingèrent des aliments génétiquement modifiés, ces gènes artificiels modifient le caractère des bactéries de l’intestin, qui travaillent en symbiose avec nos cellules… Ce sont des produits qui permettent de donner une saveur sucrée. Sur le long terme, cette consommation est associée à une augmentation du risque :
d’obésité et diabète ( !) ;
maladies cardiaques et hypertension artérielle ;
détérioration de la flore intestinale. Le Glutamate monosodique = E 621, et Aspartame = E 951 sont des excitotoxines : elles excitent, ou stimulent la mort des cellules nerveuses ? Le goût sucré déclenche les mêmes mécanismes physiologiques que l’absorption de vrai sucre (voir site: alimentation - manger - index glycémique - Light), et n’aide pas à se libérer de l’addiction au sucre. Au contraire des édulcorants naturels (voir section ci-dessous). Ils ont l’avantage de présenter un faible indice glycémique et de renfermer des éléments nutritifs essentiels.
Stévia, sucre de fleurs de noix de coco et xylitol.